Mercredi soir, c'était le coup d'envoi de la 31e édition du
Festivent de Lévis. Le bal fut lancé avec une recrue de l'émission "La
voix" : Jeffrey Piton qui assura cette première partie de spectacle. Nous
avons eu affaire à un jovial et talentueux chanteur qui y alla de ses propres
compositions ainsi que de quelques reprises servies selon sa propre saveur... Somme
toute une belle découverte !
La tête d'affiche de cette première soirée : Vincent
Vallières. Qu’on se le tienne pour dit, si je n'ai pas vu cet
auteur-compositeur-interprète une vingtaine de fois... aussi bien dire que je
ne l'ai jamais vu !
C'est un rouquin très festif qui
monta sur les planches vers les 21h30, entamant son concert avec la pièce titre de son dernier album "Le monde tourne
fort". Vallières est en écriture depuis un moment déjà. Par conséquent,
dans la dernière année, il s'est produit plus discrètement (spectacle formule
"intime" en collaboration avec André Papanicolaou alias Business Dre)
dans les salles de spectacle du Québec. Peut-être suis-je trop critique, mais
j'avais déjà vu ledit chanteur plus performant... Cependant, j'ai eu droit à
mes classiques radiophoniques : Je pars à
pied, Le temps passe, Café Lézard...
Le Sherbrookois sortira un nouvel
album cet automne, en attendant, celui-ci nous a offert le premier extrait
radio : Stone ! Chanson qui semblait peut-être prendre un peu trop son sens sur
scène... C'est lors du rappel que les festivaliers ont pu chantonner LE succès "on va s'aimer encore" ! Ce dernier
fut amorcé avec une demande en mariage faite sur scène par un jeune homme du
public. Ce moment, quoi que charmant, me rendit mal à l'aise. Ce doit être mon
petit côté trouble-fête qui ressortait en cette fin de soirée un peu décevante
pour ma part...
Malgré les quelques failles que j'ai
pu y déceler, je suis tout de même
prête à revoir Vincent à la fin août dans le cadre de la tournée Sirius à
l'Impérial de Québec...
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